Divorce Suisse amiable : équité factuelle pour la vie post divorce de chacun !
Sauf exception, tous les divorcés en témoignent, divorcer est toujours un cap difficile, pénible et généralement douleureux sur le plan émotionnel, psychologique et relationnel, y inclus pour et avec les enfants. Au-delà des griefs affectifs et relationnels en jeu – ou qui ressortent à cette occasion ! – divorcer c’est, en effet, aussi changer radicalement de vie et de quotidien, devoir s’habituer, psychiquement certes, mais aussi concrètement à vivre sans l’autre, ce qui implique de multiples réorganisations pratiques, rythmiques, souvent aussi géographiques, etc.
Le critère central des divorces suisses à l’amiable = l’équité post divorce
Aussi ne peut-on que saluer l’initiative prise par le législateur en Suisse à l’orée du XXIme siècle : simplifier et surtout standardiser les procédures à partir de critères factuels relatifs aux conséquences concrètes pour l’un et l’autre époux et leurs enfants s’ils en ont. Tout doit être équitable ! Et peu importent adultères et autres « fautes conjugales » ! Quoi de plus sensé et de plus pacifiant émotionnellement qu’une telle approche pratico-pratique ? Dans le cadre d’un « consentement mutuel », il revient aux époux de se mettre d’accord sur ces conséquences factuelles (qui garde le domicile conjugale, quid des pensions, etc.) par écrit – si besoin avec l’aide d’un médiateur pour leur divorce à Genève ou ailleurs !
Un divorce suisse simplifié au point qu’il peut se faire en ligne !
Une simplification si « carrée » dans le cas du divorce à l’amiable (techniquement « par consentement mutuel ») proposé, qu’elle permet aux couples de quasiment divorcer en ligne en trois mois, en passant par le site spécialisé divorce.ch (https://divorce.ch/ ) !